PREMIERS PAS A BUENOS AIRES
On ne s’attendait pas à commencer la visite de Buenos Aires par le commissariat et le consulat, mais une main mal intentionnée en a décidé autrement. Curieusement, on prend toute cette mésaventure avec philosophie. On a dès nos débuts pu tirer des leçons: Ne jamais lâcher des effets personnels même si l’endroit à l’air tout à fait correct et surtout se fier à son instinct ( on ne voyait pas l’utilité d’aller attendre un contact dans un resto bar alors qu’on avait le wifi à l’aéroport et on aurait dû s’écouter).
Mais après ces débuts difficiles, on a enfin pu partir à la visite de la capitale argentine.
BUENOS AIRES est une mégalopole et ça se sent dès l’arrivée. Y’a du monde partout et un bruit de fond permanent. On peut manger à toute heure. La ville est divisée par quelques grandes avenues qui traversent la ville de part en part et des rues qui forment un quadrillage. Les avenues sont tellement longues qu’il ne sert à rien de dire « c’est sur telle avenue » parce qu’elle fait plusieurs kilomètres de long : l’avenue Corrientes qui est une des principales fait par exemple 8,6km! Donc quand tu veux aller sur l’une de ces avenues il faut indiquer le bloc de 000 à 6900 pour Corrientes. La ville fait 100km de long !
L’obélisque situé sur la plus large avenue du monde, l’avenida 9 de julio : 140 m de large et 20 voies de circulation !
Ce qui nous a étonné c’est que les avenues et les rues sont presque toutes à sens unique. Les feux rouges sont situés après les carrefours et en tant que piéton on a intérêt à bien attendre le bonhomme blanc, et pas vert, parce que quand ils démarrent (même sur les petites rues) c’est à fond!
Donc après les commissariats, consulats et autres boutiques de photocopies, on est allés visité Puerto Madreo qui est un quartier récent et très côté de Buenos Aires.
Le quartier de Puerto Madero est situé près de l’embouchure du rio Plata et il y a une lagune avec une réserve biologique. C’est impressionnant de se retrouver au calme dans cette réserve avec une grande variété d’oiseaux, une zone marécageuse immense et sur le côté les gratte-ciel.
Ensuite on a visité le quartier de San Telmo, qui est un quartier d’artistes et d’antiquaires.
Mafalda est argentine !
Un petit bout de France. Clin d’oeil aux amateurs de Ricard …
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